From Bigorne and Paugy (1991) : La hauteur du corps est comprise 3,0 à 3,5 fois dans la longueur standard; la base de la nageoire anale 3,4 à 3,0 fois dans cette même longueur; le diamètre de l'œil 3,0 à 4,0 fois dans la longueur de la tête; la hauteur du pédoncule caudale 16,1 à 18,1 fois dans la longueur standard. La bouche est petite et infère. On compte 5-10 dents bicuspides à la mâchoire supérieure et 12-20 à la mâchoire inférieure. Il y a 12 écailles autour du pédoncule caudal et 36-43 le long de la ligne longitudinale. On compte 20-27 rayons à la nageoire dorsale et 27-34 à l'anale, 9 rayons à la pectorales et 6 à la ventrale. La coloration est décrite dans la dia- gnose.
Présence d’une petite tache sombre et arrondie, en dessous de la nageoire dorsale. Les premiers rayons de la nageoire dorsale peuvent être lavés de gris.
From Bigorne and Paugy (1991) : Petrocephalus pallidomaculatus se rencontre dans le Niger en sympatrie avec P. bovei et P. soudanensis. Il s'en distingue par la présence d’une petite tache sombre et arrondie, en dessous de la nageoire dorsale. Les premiers rayons de cette dernière peuvent être lavés de gris. Cette forme est difficile à séparer de P. bovei car la simple tache qui différencie les livrées des deux espèces a tendance à s'estomper après que l'animal ait été pêché et ne reste présente que très rarement sur les spécimens conservés. D'autre part aucune autre différence tant morphologique que méristique n'a pu être mise en évidence entre les deux espèces. Les caractéristiques de la décharge électrique ne sont pas non plus statistiquement différentes de celles enregistrées pour P. bovei. En revanche, elle se distingue parfaitement de P. bovei (exemplaires du Koba) et de P. soudanensis (sympatrie stricte) sur le plan génétique. Le nombre de dents à la mâchoire supérieure la sépare aussi de P. soudanensis. Le nombre de rayons aux nageoires dorsale et anale la distingue de P. ansorgii.
To 85 mm SL
Petrocephalus pallidomaculatus belongs to a Nilo-Sudanian clade.
Présent dans le Niger supérieur jusque vers le delta central, il est aussi signalé du bassin des Volta, du Mono et de l'Ouémé et serait aussi présent dans les hauts-cours du Sénégal.